RAMAS Israël

  • Auschwitz

  • Né le 24 mars 1911 en Russie

  • Décédé à Auschwitz

OBSERVATIONS :

La liste des déportés(es) de notre site ayant un rapport avec le Gard est issue de diverses sources : archives départementales, liste des fédérations de déportés(es) créées au lendemain de la guerre, témoignages oraux de maires du Gard, Yad Vashem, archives Service Historique de la Défense de Caen, témoignages écrits de déporté(es), nos propres études …). Cependant, malgré nos recherches nous n’avons pu certifier le parcours d’Israël RAMAS dans le Gard. Nous faisons le choix par respect pour cette personne de publier sa biographie sous réserve d’informations complémentaires. 

Il naît le 24 mars 1911 à Deutchen en Russie ? (et non Beuthen – Allemagne, comme indiqué sur le site Yad Vashem).
Vraisemblablement réfugié dans le sud de la France afin de fuir les persécutions antisémites, il est arrêté au mas de Paran à Nîmes (Gard) et incarcéré au camp des Milles près d’Aix en Provence. De là il est envoyé au centre de regroupement des israélites à Drancy d’où il est déporté à destination d’Auschwitz par convoi 29[1]  du 7 septembre 1942 où il est assassiné.
Son nom figure sur le mur des noms du mémorial de la Shoah : Dalle 86, colonne 29, rangée 2

André Francisco

Sources :

Archives SHD Caen
Mémorial de la Shoah


[1] Le convoi 29 du 7 septembre 1942 est surtout composé de Juifs étrangers qui avaient été transférés de la zone non occupée par deux convois. Le premier arrive au camp de Drancy en provenance de Nice le 1er septembre et le deuxième de Rivesaltes et des Milles, arrive à Drancy le 3 septembre. Plus de 100 enfants sont parmi les déportés de la zone non occupée auxquels s’ajoutent près de 200 Juifs arrêtés lors de la rafle du Vel d’Hiv en juillet 1942. À leur arrivée à Auschwitz, 59 hommes sont sélectionnés pour des travaux forcés et tatoués des numéros 63164 à 63222, 52 femmes sont tatouées des numéros 19243 à 19294. Les autres déportés sont gazés dès leur arrivée au camp. Selon l’historien Serge Klarsfeld, on dénombrait 34 rescapés de ce convoi en 1945, tous des hommes.

Vous avez un complément d’informations ? N’hésitez pas nous le faire savoir.

RAMAS Israël

  • Auschwitz

  • Né le 24 mars 1911 en Russie

  • Décédé à Auschwitz

OBSERVATIONS :

La liste des déportés(es) de notre site ayant un rapport avec le Gard est issue de diverses sources : archives départementales, liste des fédérations de déportés(es) créées au lendemain de la guerre, témoignages oraux de maires du Gard, Yad Vashem, archives Service Historique de la Défense de Caen, témoignages écrits de déporté(es), nos propres études …). Cependant, malgré nos recherches nous n’avons pu certifier le parcours d’Israël RAMAS dans le Gard. Nous faisons le choix par respect pour cette personne de publier sa biographie sous réserve d’informations complémentaires. 

Il naît le 24 mars 1911 à Deutchen en Russie ? (et non Beuthen – Allemagne, comme indiqué sur le site Yad Vashem).
Vraisemblablement réfugié dans le sud de la France afin de fuir les persécutions antisémites, il est arrêté au mas de Paran à Nîmes (Gard) et incarcéré au camp des Milles près d’Aix en Provence. De là il est envoyé au centre de regroupement des israélites à Drancy d’où il est déporté à destination d’Auschwitz par convoi 29[1]  du 7 septembre 1942 où il est assassiné.
Son nom figure sur le mur des noms du mémorial de la Shoah : Dalle 86, colonne 29, rangée 2

André Francisco

Sources :

Archives SHD Caen
Mémorial de la Shoah


[1] Le convoi 29 du 7 septembre 1942 est surtout composé de Juifs étrangers qui avaient été transférés de la zone non occupée par deux convois. Le premier arrive au camp de Drancy en provenance de Nice le 1er septembre et le deuxième de Rivesaltes et des Milles, arrive à Drancy le 3 septembre. Plus de 100 enfants sont parmi les déportés de la zone non occupée auxquels s’ajoutent près de 200 Juifs arrêtés lors de la rafle du Vel d’Hiv en juillet 1942. À leur arrivée à Auschwitz, 59 hommes sont sélectionnés pour des travaux forcés et tatoués des numéros 63164 à 63222, 52 femmes sont tatouées des numéros 19243 à 19294. Les autres déportés sont gazés dès leur arrivée au camp. Selon l’historien Serge Klarsfeld, on dénombrait 34 rescapés de ce convoi en 1945, tous des hommes.

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