RECHERCHEZ
Il nait le 15 juillet 1908 à Vienne (Autriche). Fuyant sans aucun doute les persécutions antisémites, comme de nombreux autres juifs, on le retrouve au GTE de la Favède / La Grand Combe (groupement de travailleurs étrangers affectés aux mines de la Grand Combe).
Il est arrêté, interné au centre de regroupement des israélites à Drancy et déporté à destination d’Auschwitz par convoi 25[1] de 28 août 1942, d’où il ne reviendra pas.
Son nom figure sur le mur du mémorial de la Shoah : dalle 5, colonne 2, rangée 2
Frédérique Doat-Vincent
[1] Convoi 25 : Le convoi du 28 août 1942 déporte 280 enfants qui avaient été transférés au camp de Drancy à partir du camp de Pithiviers le 25 août. Outre ces enfants, 589 Juifs, en majorité des hommes, détenus dans les GTE (Groupes de travailleurs étrangers) font également partie de ce convoi. Des adultes, hommes et femmes complètent l’effectif du convoi. Certains avaient été transférés avec leurs enfants de Pithiviers et d’autres étaient déjà internés au camp de Drancy.
À leur arrivée à Auschwitz le 31 août, seules 71 femmes sont sélectionnées pour des travaux forcés. Elles sont tatouées des numéros 18749 à 18819. Les autres déportés sont gazés dès leur arrivée au camp. Selon l’historien Serge Klarsfeld, on dénombrait 8 rescapés de ce convoi en 1945.
Sources :
RECHERCHEZ
Il nait le 15 juillet 1908 à Vienne (Autriche). Fuyant sans aucun doute les persécutions antisémites, comme de nombreux autres juifs, on le retrouve au GTE de la Favède / La Grand Combe (groupement de travailleurs étrangers affectés aux mines de la Grand Combe).
Il est arrêté, interné au centre de regroupement des israélites à Drancy et déporté à destination d’Auschwitz par convoi 25[1] de 28 août 1942, d’où il ne reviendra pas.
Son nom figure sur le mur du mémorial de la Shoah : dalle 5, colonne 2, rangée 2
Frédérique Doat-Vincent
[1] Convoi 25 : Le convoi du 28 août 1942 déporte 280 enfants qui avaient été transférés au camp de Drancy à partir du camp de Pithiviers le 25 août. Outre ces enfants, 589 Juifs, en majorité des hommes, détenus dans les GTE (Groupes de travailleurs étrangers) font également partie de ce convoi. Des adultes, hommes et femmes complètent l’effectif du convoi. Certains avaient été transférés avec leurs enfants de Pithiviers et d’autres étaient déjà internés au camp de Drancy.
À leur arrivée à Auschwitz le 31 août, seules 71 femmes sont sélectionnées pour des travaux forcés. Elles sont tatouées des numéros 18749 à 18819. Les autres déportés sont gazés dès leur arrivée au camp. Selon l’historien Serge Klarsfeld, on dénombrait 8 rescapés de ce convoi en 1945.
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