RECHERCHEZ
Elie Marcel Scapin est le fils d’Emile Augustin Scapin et de Mathilde Elise Larounet[1]. Il travaille en tant qu’électromécanicien.
Il est arrêté le 7 juin 1943 à Argelès s/Mer (Pyrénées-Orientales) au moment où il tente de franchir la frontière espagnole, parce que réfractaire au STO et voulant rejoindre les FFL en Afrique du Nord[2].
Il est interné du 7 juin 1943 au 27 juin à Perpignan, puis à Compiègne[3]. Il est déporté à Buchenwald le 25 juin 1943 avec le premier transport français pour ce camp où il arrive le 27 juin. Il y reste jusqu’au au 11 décembre 1944[4]. Ensuite transféré à Gross-Rosen le 11 décembre 1944[5], puis à Reichenau (Rychnov) en Tchécoslovaquie, il y est libéré le 10 mai 1945 et transféré par avion à Lyon le 3 juin 1945. Il a passé toute sa détention avec M. Louis Casimir Berthezène, arrêté avec lui à la frontière espagnole et rapatrié également le 3 juin 1945[6].
Après-guerre, il habite à Avignon où il décède le 10 septembre 1997[7].
Annette NOGAREDE
[1] EC du Martinet, bulletin de naissance du 31 mars 1951
[2] Courrier du préfet de police à M. le ministre des Anciens combattants, 8 juillet 1953
[3] Demande d’attribution du titre de déporté résistant, 25 mars 1952
[4] Direction des statuts et des services médicaux, attestation du 7 septembre 1972
[5] Courrier du ministère des Anciens combattants à M. Passina (Arolsen) du 3 novembre 1971
[6] Courrier du préfet de police à M. le ministre des Anciens combattants, 8 juillet 1953
[7] https://www.openarchieven.nl/ins:d920b2f8-a4a4-2040-6313-6f5587d1facd/fr
Sources :
RECHERCHEZ
Elie Marcel Scapin est le fils d’Emile Augustin Scapin et de Mathilde Elise Larounet[1]. Il travaille en tant qu’électromécanicien.
Il est arrêté le 7 juin 1943 à Argelès s/Mer (Pyrénées-Orientales) au moment où il tente de franchir la frontière espagnole, parce que réfractaire au STO et voulant rejoindre les FFL en Afrique du Nord[2].
Il est interné du 7 juin 1943 au 27 juin à Perpignan, puis à Compiègne[3]. Il est déporté à Buchenwald le 25 juin 1943 avec le premier transport français pour ce camp où il arrive le 27 juin. Il y reste jusqu’au au 11 décembre 1944[4]. Ensuite transféré à Gross-Rosen le 11 décembre 1944[5], puis à Reichenau (Rychnov) en Tchécoslovaquie, il y est libéré le 10 mai 1945 et transféré par avion à Lyon le 3 juin 1945. Il a passé toute sa détention avec M. Louis Casimir Berthezène, arrêté avec lui à la frontière espagnole et rapatrié également le 3 juin 1945[6].
Après-guerre, il habite à Avignon où il décède le 10 septembre 1997[7].
Annette NOGAREDE
[1] EC du Martinet, bulletin de naissance du 31 mars 1951
[2] Courrier du préfet de police à M. le ministre des Anciens combattants, 8 juillet 1953
[3] Demande d’attribution du titre de déporté résistant, 25 mars 1952
[4] Direction des statuts et des services médicaux, attestation du 7 septembre 1972
[5] Courrier du ministère des Anciens combattants à M. Passina (Arolsen) du 3 novembre 1971
[6] Courrier du préfet de police à M. le ministre des Anciens combattants, 8 juillet 1953
[7] https://www.openarchieven.nl/ins:d920b2f8-a4a4-2040-6313-6f5587d1facd/fr
Sources :