SANTI Pellegrino

  • évadé train fantôme

  • Né le 25 mai 1888 en Italie

  • Revenu d’évasion

Il naît le 25 mai 1888 à Santa Fiora en Toscane (Italie).

Comme de nombreux immigrés, il s’installe à Alès et travaille à la mine qui a un grand besoin de main d’œuvre.

Il épouse Maria Alduiba Billini née le 4 juillet 1895 à Castiglione d’Orcia – Toscane (Italie) et ils habitent 19 rue St Jean à Alès.

Considéré comme communiste, il est arrêté le 6 octobre 1943, incarcéré à Alès et envoyé au camp du Vernet en Ariège.

Il est déporté de ce camp au départ de Toulouse dans le convoi I 261 à destination de Dachau qui prendra le triste nom de train fantôme, car ayant mis près de 40 jours pour arriver à Dachau en pleine période de libération du Sud de la France. Lors du transport, il réussit à s’évader à Lecourt (Val de Meuse) le 25 août 1944 avec près de 60 compagnons, dont plusieurs seront blessés ou tués. Il revient à Alès qui a été libérée le 21 août 1944.

Il sera naturalisé français avec son épouse le 27 juillet 947.

André FRANCISCO

Sources :

-Archives SHD Caen

-https://lesdeportesdutrainfantome.org/evasions.htm

-Naturalisation : JO du 27 juillet 1947 – page 7354

Vous avez un complément d’informations ? N’hésitez pas nous le faire savoir.

SANTI Pellegrino

  • évadé train fantôme

  • Né le 25 mai 1888 en Italie

  • Revenu d’évasion

Il naît le 25 mai 1888 à Santa Fiora en Toscane (Italie).

Comme de nombreux immigrés, il s’installe à Alès et travaille à la mine qui a un grand besoin de main d’œuvre.

Il épouse Maria Alduiba Billini née le 4 juillet 1895 à Castiglione d’Orcia – Toscane (Italie) et ils habitent 19 rue St Jean à Alès.

Considéré comme communiste, il est arrêté le 6 octobre 1943, incarcéré à Alès et envoyé au camp du Vernet en Ariège.

Il est déporté de ce camp au départ de Toulouse dans le convoi I 261 à destination de Dachau qui prendra le triste nom de train fantôme, car ayant mis près de 40 jours pour arriver à Dachau en pleine période de libération du Sud de la France. Lors du transport, il réussit à s’évader à Lecourt (Val de Meuse) le 25 août 1944 avec près de 60 compagnons, dont plusieurs seront blessés ou tués. Il revient à Alès qui a été libérée le 21 août 1944.

Il sera naturalisé français avec son épouse le 27 juillet 947.

André FRANCISCO

Sources :

-Archives SHD Caen

-https://lesdeportesdutrainfantome.org/evasions.htm

-Naturalisation : JO du 27 juillet 1947 – page 7354

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