RECHERCHEZ
Né à Varsovie (Pologne) le 23 juillet 1917, il vit en France pendant la guerre.
Il travaille à l’usine de Salindres (Gard). Arrêté du fait de sa judaïté il est envoyé au camp des Milles avant d’être transféré au centre de regroupement des israélites à Drancy le 28 août 1942. Il est déporté vers Auschwitz par le train 901-20, convoi 25[i], ce même jour où il disparait dès son arrivée.
Son nom figure sur le mur du mémorial de la Shoah : dalle 63 – colonne 21 – rangée 3
Frédérique Doat-Vincent
[i] Le convoi 25 du 28 août 1942 déporte 280 enfants qui avaient été transférés au camp de Drancy à partir du camp de Pithiviers le 25 août. Outre ces enfants, 589 Juifs, en majorité des hommes, détenus dans les GTE (Groupes de travailleurs étrangers) font également partie de ce convoi. Des adultes, hommes et femmes complètent l’effectif du convoi. Certains avaient été transférés avec leurs enfants de Pithiviers et d’autres étaient déjà internés au camp de Drancy.
À leur arrivée à Auschwitz le 31 août, seules 71 femmes sont sélectionnées pour des travaux forcés. Elles sont tatouées des numéros 18749 à 18819. Les autres déportés sont gazés dès leur arrivée au camp. Selon l’historien Serge Klarsfeld, on dénombrait 8 rescapés de ce convoi en 1945.
Sources :
Site de Yad Vashem
Mémorial des Juifs déportés de France 1942-1944 de Serge Klarsfeld.
RECHERCHEZ
Né à Varsovie (Pologne) le 23 juillet 1917, il vit en France pendant la guerre.
Il travaille à l’usine de Salindres (Gard). Arrêté du fait de sa judaïté il est envoyé au camp des Milles avant d’être transféré au centre de regroupement des israélites à Drancy le 28 août 1942. Il est déporté vers Auschwitz par le train 901-20, convoi 25[i], ce même jour où il disparait dès son arrivée.
Son nom figure sur le mur du mémorial de la Shoah : dalle 63 – colonne 21 – rangée 3
Frédérique Doat-Vincent
[i] Le convoi 25 du 28 août 1942 déporte 280 enfants qui avaient été transférés au camp de Drancy à partir du camp de Pithiviers le 25 août. Outre ces enfants, 589 Juifs, en majorité des hommes, détenus dans les GTE (Groupes de travailleurs étrangers) font également partie de ce convoi. Des adultes, hommes et femmes complètent l’effectif du convoi. Certains avaient été transférés avec leurs enfants de Pithiviers et d’autres étaient déjà internés au camp de Drancy.
À leur arrivée à Auschwitz le 31 août, seules 71 femmes sont sélectionnées pour des travaux forcés. Elles sont tatouées des numéros 18749 à 18819. Les autres déportés sont gazés dès leur arrivée au camp. Selon l’historien Serge Klarsfeld, on dénombrait 8 rescapés de ce convoi en 1945.
Sources :
Site de Yad Vashem
Mémorial des Juifs déportés de France 1942-1944 de Serge Klarsfeld.