DESHONS Jean

  • Dachau

  • Né le 9 juillet 1920 à Gallargues

  • Décédé le 18 décembre 2006 à Alès

Jean Elie naît le 9 juillet 1920 à Gallargues (Gard), d’Arthur fermier âgé de 43 ans et de Louise Grévoul âgée de 36 ans, dernier d’une fratrie de 5 enfants.

Il habite 18 rue Proudhon à Montpellier lors de son départ au STO en Allemagne le 13 mars 1943 et il est arrêté le 5 avril 1944 sur son lieu de travail chez Brug Muller, boulanger à Neustadt (land de Rhénanie-Palatinat) pour complicité d’évasion de prisonniers de guerre français. Le tribunal de  Stuttgart le condamne le 7 août 1944 à deux ans et demi de travaux forcés.
Il reste à la prison de Neustadt du 5 avril 1944 au 25 juillet 1944, avant d’être transféré à la prison de Stuttgart  jusqu’au 10 août 1944 et à la prison des Deux-Ponts (Zweibrücken) jusqu’au 15 septembre 1944.
Il sera envoyé à la prison camp d’Ebrach  jusqu’au 25 mars 1945 et déporté à Dachau le 5 avril 1945, dans le kommando de Strobl  (près de Bad – Ischl ), où il sera libéré en mai 45 et rapatrié par Metz.

Il habitera  Rivières de Theyrargues (près d’Alès – Gard) et employé comme manœuvre.

Il décède le 18 décembre 2006 à Alès.

André Francisco


André Francisco

[1] Les trois grands mouvements de résistance de la zone Sud : Franc-Tireur, Combat  et Libération sud  se regroupent dans le M.U.R (Mouvements Unis de Résistance)   en janvier 1943

Sources :

Archives Caen
Archives Arolsen

Vous avez un complément d’informations ? N’hésitez pas nous le faire savoir.

DESHONS Jean

  • Dachau

  • Né le 9 juillet 1920 à Gallargues

  • Décédé le 18 décembre 2006 à Alès

Jean Elie naît le 9 juillet 1920 à Gallargues (Gard), d’Arthur fermier âgé de 43 ans et de Louise Grévoul âgée de 36 ans, dernier d’une fratrie de 5 enfants.

Il habite 18 rue Proudhon à Montpellier lors de son départ au STO en Allemagne le 13 mars 1943 et il est arrêté le 5 avril 1944 sur son lieu de travail chez Brug Muller, boulanger à Neustadt (land de Rhénanie-Palatinat) pour complicité d’évasion de prisonniers de guerre français. Le tribunal de  Stuttgart le condamne le 7 août 1944 à deux ans et demi de travaux forcés.
Il reste à la prison de Neustadt du 5 avril 1944 au 25 juillet 1944, avant d’être transféré à la prison de Stuttgart  jusqu’au 10 août 1944 et à la prison des Deux-Ponts (Zweibrücken) jusqu’au 15 septembre 1944.
Il sera envoyé à la prison camp d’Ebrach  jusqu’au 25 mars 1945 et déporté à Dachau le 5 avril 1945, dans le kommando de Strobl  (près de Bad – Ischl ), où il sera libéré en mai 45 et rapatrié par Metz.

Il habitera  Rivières de Theyrargues (près d’Alès – Gard) et employé comme manœuvre.

Il décède le 18 décembre 2006 à Alès.

André Francisco


André Francisco

[1] Les trois grands mouvements de résistance de la zone Sud : Franc-Tireur, Combat  et Libération sud  se regroupent dans le M.U.R (Mouvements Unis de Résistance)   en janvier 1943

Sources :

Archives Caen
Archives Arolsen

Vous avez un complément d’informations ? N’hésitez pas nous le faire savoir.