RECHERCHEZ
Jean Elie naît le 9 juillet 1920 à Gallargues (Gard), d’Arthur fermier âgé de 43 ans et de Louise Grévoul âgée de 36 ans, dernier d’une fratrie de 5 enfants.
Il habite 18 rue Proudhon à Montpellier lors de son départ au STO en Allemagne le 13 mars 1943 et il est arrêté le 5 avril 1944 sur son lieu de travail chez Brug Muller, boulanger à Neustadt (land de Rhénanie-Palatinat) pour complicité d’évasion de prisonniers de guerre français. Le tribunal de Stuttgart le condamne le 7 août 1944 à deux ans et demi de travaux forcés.
Il reste à la prison de Neustadt du 5 avril 1944 au 25 juillet 1944, avant d’être transféré à la prison de Stuttgart jusqu’au 10 août 1944 et à la prison des Deux-Ponts (Zweibrücken) jusqu’au 15 septembre 1944.
Il sera envoyé à la prison camp d’Ebrach jusqu’au 25 mars 1945 et déporté à Dachau le 5 avril 1945, dans le kommando de Strobl (près de Bad – Ischl ), où il sera libéré en mai 45 et rapatrié par Metz.
Il habitera Rivières de Theyrargues (près d’Alès – Gard) et employé comme manœuvre.
Il décède le 18 décembre 2006 à Alès.
André Francisco
André Francisco
[1] Les trois grands mouvements de résistance de la zone Sud : Franc-Tireur, Combat et Libération sud se regroupent dans le M.U.R (Mouvements Unis de Résistance) en janvier 1943
Sources :
Archives Caen
Archives Arolsen
RECHERCHEZ
Jean Elie naît le 9 juillet 1920 à Gallargues (Gard), d’Arthur fermier âgé de 43 ans et de Louise Grévoul âgée de 36 ans, dernier d’une fratrie de 5 enfants.
Il habite 18 rue Proudhon à Montpellier lors de son départ au STO en Allemagne le 13 mars 1943 et il est arrêté le 5 avril 1944 sur son lieu de travail chez Brug Muller, boulanger à Neustadt (land de Rhénanie-Palatinat) pour complicité d’évasion de prisonniers de guerre français. Le tribunal de Stuttgart le condamne le 7 août 1944 à deux ans et demi de travaux forcés.
Il reste à la prison de Neustadt du 5 avril 1944 au 25 juillet 1944, avant d’être transféré à la prison de Stuttgart jusqu’au 10 août 1944 et à la prison des Deux-Ponts (Zweibrücken) jusqu’au 15 septembre 1944.
Il sera envoyé à la prison camp d’Ebrach jusqu’au 25 mars 1945 et déporté à Dachau le 5 avril 1945, dans le kommando de Strobl (près de Bad – Ischl ), où il sera libéré en mai 45 et rapatrié par Metz.
Il habitera Rivières de Theyrargues (près d’Alès – Gard) et employé comme manœuvre.
Il décède le 18 décembre 2006 à Alès.
André Francisco
André Francisco
[1] Les trois grands mouvements de résistance de la zone Sud : Franc-Tireur, Combat et Libération sud se regroupent dans le M.U.R (Mouvements Unis de Résistance) en janvier 1943
Sources :
Archives Caen
Archives Arolsen