BRANEVITCH Samuel

  • Auschwitz

  • Né le 15 août 1924 à Marseille

  • – Décédé le 25 janvier 1944 à Auschwitz

FAMILLE BRANEVITCH – GOLDENBERG

 

Samuel BRANEVITCH est né le 15 août 1924 à Marseille et réside au 61 rue Térusse, dans une famille juive. Il est le fils aîné de Zacharie, Henri BRANEVITCH, commerçant tailleur et de Léonie GOLDENBERG sans profession. Il a une sœur Annie et il est le petit-fils de Rose TEITELBOIM et Maurice GOLDENBERG qui résident 4 Bd de la liberté à Marseille.

En 1942 après un séjour à Nîmes, 4 rue Crémieux, chez ses grands-parents paternels (Samuel et Orma BRANEVITCH) la famille doit fuir pour se réfugier à Pralognan (Savoie) par peur d’être dénoncée. C’est là que Samuel est arrêté le 27 décembre 1943 par la gestapo. Il est envoyé au centre de regroupement des israélites à Drancy par convoi LA 4324 LA 4188, le 28 décembre 1943 sous le matricule 10446 et déporté à Auschwitz le 20 décembre par convoi n° 66.

Il est déclaré disparu le 25 janvier 1944, et sera reconnu déporté politique[i]

Il n’avait pas encore 20 ans et son nom figure sur le mur des noms du mémorial de la Shoah : dalle 6 – colonne 2 – rangée 3

Danièle AGUILAR


[i]  Déporté Politique :  Décision du Ministère des Anciens Combattants et Victimes de guerre « Déportée Politique » Dossier 76535

Le 21 avril 1954 le Ministère des Anciens Combattants et Victimes de guerre a communiqué à Mr le Directeur Interdépartemental des Anciens Combattants et Victimes de guerre à Marseille que d’après une liste de déportés transmise par l’AVON de Nîmes, que Samuel BRANEVITCH a été arrêté en décembre 1943 au motif d’être Israélite

Sources :

Mémorial de la Shoah dont photo

Témoignages de Mr Albert REVERS, Maire de Pralognan et de Mr BLANC (propriétaire) obtenus par la gendarmerie et transmis à Mr le Directeur départemental des Anciens Combattants à Nîmes le 6 février 1952 :

« La famille BRANEVITCH et GOLDENBERG a résidé à Pralognan de 1942 à 1943.

Personnes de bonne moralité et d’aucun groupe politique. Elle a fui la ville de Nîmes de peur d’être dénoncée. »

Vous avez un complément d’informations ? N’hésitez pas nous le faire savoir.

BRANEVITCH Samuel

  • Auschwitz

  • Né le 15 août 1924 à Marseille

  • – Décédé le 25 janvier 1944 à Auschwitz

FAMILLE BRANEVITCH – GOLDENBERG

 

Samuel BRANEVITCH est né le 15 août 1924 à Marseille et réside au 61 rue Térusse, dans une famille juive. Il est le fils aîné de Zacharie, Henri BRANEVITCH, commerçant tailleur et de Léonie GOLDENBERG sans profession. Il a une sœur Annie et il est le petit-fils de Rose TEITELBOIM et Maurice GOLDENBERG qui résident 4 Bd de la liberté à Marseille.

En 1942 après un séjour à Nîmes, 4 rue Crémieux, chez ses grands-parents paternels (Samuel et Orma BRANEVITCH) la famille doit fuir pour se réfugier à Pralognan (Savoie) par peur d’être dénoncée. C’est là que Samuel est arrêté le 27 décembre 1943 par la gestapo. Il est envoyé au centre de regroupement des israélites à Drancy par convoi LA 4324 LA 4188, le 28 décembre 1943 sous le matricule 10446 et déporté à Auschwitz le 20 décembre par convoi n° 66.

Il est déclaré disparu le 25 janvier 1944, et sera reconnu déporté politique[i]

Il n’avait pas encore 20 ans et son nom figure sur le mur des noms du mémorial de la Shoah : dalle 6 – colonne 2 – rangée 3

Danièle AGUILAR


[i]  Déporté Politique :  Décision du Ministère des Anciens Combattants et Victimes de guerre « Déportée Politique » Dossier 76535

Le 21 avril 1954 le Ministère des Anciens Combattants et Victimes de guerre a communiqué à Mr le Directeur Interdépartemental des Anciens Combattants et Victimes de guerre à Marseille que d’après une liste de déportés transmise par l’AVON de Nîmes, que Samuel BRANEVITCH a été arrêté en décembre 1943 au motif d’être Israélite

Sources :

Mémorial de la Shoah dont photo

Témoignages de Mr Albert REVERS, Maire de Pralognan et de Mr BLANC (propriétaire) obtenus par la gendarmerie et transmis à Mr le Directeur départemental des Anciens Combattants à Nîmes le 6 février 1952 :

« La famille BRANEVITCH et GOLDENBERG a résidé à Pralognan de 1942 à 1943.

Personnes de bonne moralité et d’aucun groupe politique. Elle a fui la ville de Nîmes de peur d’être dénoncée. »

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