RECHERCHEZ
FAMILLE BRANEVITCH – GOLDENBERG
Léonie BRANEVITCH née GOLDENBERG naît le 8 août 1898 à Marseille, fille de Houna GOLDENBERG et de Rose TEITELBOIM domiciliés à Marseille, 4 Bd de la Liberté.
Elle a un frère Emmanuel (qui sera déporté par convoi 66) et deux sœurs Lise et Pauline (qui sera déporté par convoi 61)
Elle épouse Zacharie, Henri BRANEVITCH, le 5 septembre 1922 en mairie de Nîmes et aura deux enfants, Samuel et Annie BRANEVITCH (qui seront déportés par convoi 66 eux aussi).
Elle réside à Marseille 61 rue Térusse et en 1942 après un séjour à Nîmes chez ses beaux-parents, 4 rue Crémieux, elle doit fuir avec sa famille pour se réfugier à Pralognan (Savoie) par peur d’être dénoncée. C’est là que Léonie est arrêtée le 27 décembre 1943 par la gestapo. Elle est envoyée au centre de regroupement des israélites à Drancy par convoi LA 4324 LA 4188, le 28 décembre 1943 sous le matricule 10445 et déportée à Auschwitz le 20 décembre par convoi n° 66.
Elle est déclarée disparue le 25 janvier 1944 et sera reconnue déportée politique[i]
Elle avait 46 ans et son nom figure sur le mur des noms du mémorial de la Shoah : dalle 6 – colonne 2 – rangée 3.
Danièle AGUILAR
[i] Déportée Politique : Décision du Ministère des Anciens Combattants et Victimes de guerre « Déportée Politique » Dossier 76534. Le 21 avril 1954 le Ministère des Anciens Combattants et Victimes de guerre a communiqué à Mr le Directeur Interdépartemental des Anciens Combattants et Victimes de guerre à Marseille que d’après une liste de déportés transmise par l’AVON de Nîmes, que Léonie BRANEVITCH a été arrêtée en décembre 1943 au motif d’être Israélite
Sources :
Mémorial de la Shoah dont photo
Témoignages de Mr Albert REVERS, Maire de Pralognan et de Mr BLANC (propriétaire) obtenus par la gendarmerie et transmis à Mr le Directeur départemental des Anciens Combattants à Nîmes le 6 février 1952 :
« La famille BRANEVITCH et GOLDENBERG a résidé à Pralognan de 1942 à 1943.
Personnes de bonne moralité et d’aucun groupe politique. Elle a fui la ville de Nîmes de peur d’être dénoncée. »
RECHERCHEZ
FAMILLE BRANEVITCH – GOLDENBERG
Léonie BRANEVITCH née GOLDENBERG naît le 8 août 1898 à Marseille, fille de Houna GOLDENBERG et de Rose TEITELBOIM domiciliés à Marseille, 4 Bd de la Liberté.
Elle a un frère Emmanuel (qui sera déporté par convoi 66) et deux sœurs Lise et Pauline (qui sera déporté par convoi 61)
Elle épouse Zacharie, Henri BRANEVITCH, le 5 septembre 1922 en mairie de Nîmes et aura deux enfants, Samuel et Annie BRANEVITCH (qui seront déportés par convoi 66 eux aussi).
Elle réside à Marseille 61 rue Térusse et en 1942 après un séjour à Nîmes chez ses beaux-parents, 4 rue Crémieux, elle doit fuir avec sa famille pour se réfugier à Pralognan (Savoie) par peur d’être dénoncée. C’est là que Léonie est arrêtée le 27 décembre 1943 par la gestapo. Elle est envoyée au centre de regroupement des israélites à Drancy par convoi LA 4324 LA 4188, le 28 décembre 1943 sous le matricule 10445 et déportée à Auschwitz le 20 décembre par convoi n° 66.
Elle est déclarée disparue le 25 janvier 1944 et sera reconnue déportée politique[i]
Elle avait 46 ans et son nom figure sur le mur des noms du mémorial de la Shoah : dalle 6 – colonne 2 – rangée 3.
Danièle AGUILAR
[i] Déportée Politique : Décision du Ministère des Anciens Combattants et Victimes de guerre « Déportée Politique » Dossier 76534. Le 21 avril 1954 le Ministère des Anciens Combattants et Victimes de guerre a communiqué à Mr le Directeur Interdépartemental des Anciens Combattants et Victimes de guerre à Marseille que d’après une liste de déportés transmise par l’AVON de Nîmes, que Léonie BRANEVITCH a été arrêtée en décembre 1943 au motif d’être Israélite
Sources :
Mémorial de la Shoah dont photo
Témoignages de Mr Albert REVERS, Maire de Pralognan et de Mr BLANC (propriétaire) obtenus par la gendarmerie et transmis à Mr le Directeur départemental des Anciens Combattants à Nîmes le 6 février 1952 :
« La famille BRANEVITCH et GOLDENBERG a résidé à Pralognan de 1942 à 1943.
Personnes de bonne moralité et d’aucun groupe politique. Elle a fui la ville de Nîmes de peur d’être dénoncée. »