RECHERCHEZ
BLANC Emile
Émile Blanc est le fils d’Émile et de Hélène Étienne, institutrice publique. Le 25 avril 1932, il épouse Andrée Chevalier à Anduze (Gard), ils ont un enfant.
Employé à la SNCF depuis le 1er février 1937, il habite avec sa famille au 15 rue de la Treille à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Lors de la campagne 1939-1940, il est sergent-chef au 504e R.C.C. (Régiment de Chars de Combat). Démobilisé à l’armistice, il regagne son domicile et retrouve son emploi.
Engagé dans le Réseau Résistance-Fer, Emile Blanc, dit Bevin, transporte et distribue tracts, journaux clandestins et fausses pièces d’identité. Le 12 janvier 1944 il est arrêté à son domicile par la Gestapo, suite à une dénonciation.
Des explosifs sont découverts dans sa cave. Accusé d’appartenir au Mouvements Unis de Résistance (MUR), il est interné jusqu’au 18 janvier dans la prison allemande située dans les casernes du 92e R.I. de Clermont-Ferrand. Transféré sur le camp d’internement et de rassemblement de Compiègne-Royallieu le 19 janvier, on lui attribue le n°23864. Le 22 janvier, par le transport I.172, il est déporté à Buchenwald où il arrive le 24. La période de quarantaine passée, le 22 février 1944, il est dirigé sur Mauthausen et le matricule 53634 lui est attribué. Mauthausen est le dernier camp libéré par l’Armée américaine, le 5 mai 1945 ; Emile Blanc est rapatrié le 19 mai 1945 vers le centre d’accueil du Lutetia à Paris.
Emile Blanc décède le 9 octobre 2008 à Fréjus
Monique Vézilier
Sources
FMD
21 P 710 451 DAVCC Caen dossier de déporté de Émile Blanc
Arolsen dossier 1361987 d’Emile Blanc
Buchenwald Dora Kommandos Le Mémorial tome 1
http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.172
https://arbre.app/insee
RECHERCHEZ
BLANC Emile
Émile Blanc est le fils d’Émile et de Hélène Étienne, institutrice publique. Le 25 avril 1932, il épouse Andrée Chevalier à Anduze (Gard), ils ont un enfant.
Employé à la SNCF depuis le 1er février 1937, il habite avec sa famille au 15 rue de la Treille à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Lors de la campagne 1939-1940, il est sergent-chef au 504e R.C.C. (Régiment de Chars de Combat). Démobilisé à l’armistice, il regagne son domicile et retrouve son emploi.
Engagé dans le Réseau Résistance-Fer, Emile Blanc, dit Bevin, transporte et distribue tracts, journaux clandestins et fausses pièces d’identité. Le 12 janvier 1944 il est arrêté à son domicile par la Gestapo, suite à une dénonciation.
Des explosifs sont découverts dans sa cave. Accusé d’appartenir au Mouvements Unis de Résistance (MUR), il est interné jusqu’au 18 janvier dans la prison allemande située dans les casernes du 92e R.I. de Clermont-Ferrand. Transféré sur le camp d’internement et de rassemblement de Compiègne-Royallieu le 19 janvier, on lui attribue le n°23864. Le 22 janvier, par le transport I.172, il est déporté à Buchenwald où il arrive le 24. La période de quarantaine passée, le 22 février 1944, il est dirigé sur Mauthausen et le matricule 53634 lui est attribué. Mauthausen est le dernier camp libéré par l’Armée américaine, le 5 mai 1945 ; Emile Blanc est rapatrié le 19 mai 1945 vers le centre d’accueil du Lutetia à Paris.
Emile Blanc décède le 9 octobre 2008 à Fréjus
Monique Vézilier
Sources
FMD
21 P 710 451 DAVCC Caen dossier de déporté de Émile Blanc
Arolsen dossier 1361987 d’Emile Blanc
Buchenwald Dora Kommandos Le Mémorial tome 1
http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.172
https://arbre.app/insee
