RECHERCHEZ
Nous n’avons pas de races de sa jeunesse ou famille, toujours est-il qu’il se réfugié dans le sud de la France afin de fuir les persécutions antisémites et réside 5 quai jean Jaurès à Alès (Gard), lorsqu’il est arrêté à La Favède – les Salles du Gardon (Gard). Certainement affecté au Groupement de Travailleurs Etrangers installé dans cette commune.
Il est Incarcéré au camp des Milles et envoyé au centre de regroupement des israélites à Drancy. Son carnet de fouille 166, reçu n° 542 du 11 mars 1944 stipule les sommes et affaires personnelles dont il a été spolié avant d’être déporté : 69.550 francs (environ 14.500 euros 2022) et 2 bagues en or.
Il est vraisemblablement déporté par convoi 70[i] du 27 mars 1944 (c’est le premier convoi à partir après le 11 mars 1944 et les délais de séjour à Drancy étaient extrêmement brefs). Son nom n’apparait toutefois pas sur la liste de déportés du convoi 70 à destination d’Auschwitz
André Francisco
[i] Le convoi 70 part de la gare de Paris-Bobigny le 27 mars 1944 emportant 1.000 déportés. Les rafles de la région parisienne, d’Isère, de Savoie, de la région lyonnaise, de Vichy, de Toulouse, de Marseille et de la Côte d’Azur fournissent les effectifs de ce convoi. Plusieurs évasions ont lieu pendant le trajet et le train arrive à Auschwitz le 30 mars 1944 où 380 hommes sont sélectionnés pour les travaux forcés et tatoués des numéros 176096 à 176475, ainsi que 148 femmes tatouées des numéros 76162 à 76309. Les 472 personnes du reste du convoi sont gazées dès l’arrivée.
Sources :
Le Mémorial de la déportation des juifs de France, Béate et Serge Klarsfeld, Paris 1978
Listing AFMD
Archives Caen vides
Base des données centrales des victimes de la Shoah vide
Yad Vachem vide
Son nom apparait « Les transferts de juifs de la région de Marseille vers les camps de Drancy ou de
Compiègne, en vue de leur déportation, 11 août 1942-24 juillet 1944, Paris : Association Les Fils et filles des déportés juifs de France, [1992], cote de la bibliothèque USHMM DS135.F83 K44 1992 »
RECHERCHEZ
Nous n’avons pas de races de sa jeunesse ou famille, toujours est-il qu’il se réfugié dans le sud de la France afin de fuir les persécutions antisémites et réside 5 quai jean Jaurès à Alès (Gard), lorsqu’il est arrêté à La Favède – les Salles du Gardon (Gard). Certainement affecté au Groupement de Travailleurs Etrangers installé dans cette commune.
Il est Incarcéré au camp des Milles et envoyé au centre de regroupement des israélites à Drancy. Son carnet de fouille 166, reçu n° 542 du 11 mars 1944 stipule les sommes et affaires personnelles dont il a été spolié avant d’être déporté : 69.550 francs (environ 14.500 euros 2022) et 2 bagues en or.
Il est vraisemblablement déporté par convoi 70[i] du 27 mars 1944 (c’est le premier convoi à partir après le 11 mars 1944 et les délais de séjour à Drancy étaient extrêmement brefs). Son nom n’apparait toutefois pas sur la liste de déportés du convoi 70 à destination d’Auschwitz
André Francisco
[i] Le convoi 70 part de la gare de Paris-Bobigny le 27 mars 1944 emportant 1.000 déportés. Les rafles de la région parisienne, d’Isère, de Savoie, de la région lyonnaise, de Vichy, de Toulouse, de Marseille et de la Côte d’Azur fournissent les effectifs de ce convoi. Plusieurs évasions ont lieu pendant le trajet et le train arrive à Auschwitz le 30 mars 1944 où 380 hommes sont sélectionnés pour les travaux forcés et tatoués des numéros 176096 à 176475, ainsi que 148 femmes tatouées des numéros 76162 à 76309. Les 472 personnes du reste du convoi sont gazées dès l’arrivée.
Sources :
Le Mémorial de la déportation des juifs de France, Béate et Serge Klarsfeld, Paris 1978
Listing AFMD
Archives Caen vides
Base des données centrales des victimes de la Shoah vide
Yad Vachem vide
Son nom apparait « Les transferts de juifs de la région de Marseille vers les camps de Drancy ou de
Compiègne, en vue de leur déportation, 11 août 1942-24 juillet 1944, Paris : Association Les Fils et filles des déportés juifs de France, [1992], cote de la bibliothèque USHMM DS135.F83 K44 1992 »